Le fait que l’Europe, celle que l’on dénomme Union européenne, celle qui désormais regroupe pour le meilleur et le pire vingt-sept Etats, soit honorée du prestigieux prix Nobel de la paix est un succès. C’est aussi une récompense méritée qui doit être un sujet de discussion et d’analyse dans les écoles et lycées. Car nous voilà, nous autres Européens „communautaires“, si privilégiés et si méritoires, puisque nous avons réussi depuis 67 ans déjà à préserver la paix, à cohabiter, à joindre nos efforts, à explorer nos synergies et à partager une partie de nos rêves.
Nous rendons-nous réellement compte de l’exploit que cela représente? Notamment pour des peuples qui, jadis, n’ont pas reculé à partir en croisade, fanatiques illuminés, à pratiquer l’Inquisition, à avoir rendu possible l’holocauste.
Quel meilleur gage d’avenir que la paix. Irremplaçable et incomparable. Un acquis qu’aucun dividende, aucune fortune, aucun portefeuille d’actions ne peut remplacer.
Vendredi porteur donc que ce 12 octobre 2012, y compris parce que c’est un „petit Luxembourgeois“ comme l’écriraient nos chers voisins internautes sur le web, qui est devenu président du Conseil des gouverneurs du Fonds monétaire international et de celui de la Banque mondiale.
Preuve qu’on peut réussir si l’on s’en donne les moyens et qu’on s’y engage, à 100% …
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