Le 1er octobre, la Journée internationale des personnes âgées est quasi passée inaperçue dans la plupart des pays de l’Europe. L’intérêt porté à cette génération se limite à préconiser des mesures anti-virus, voire d’autres mesures „anti …“ par-ci et par-là. Une fragilisation officiellement déclamée qui les a mises sous tutelle!
Or, le fait que ces personnes continuent à apporter leur contribution à la société au plan culturel, politique et économique reste hélas ignoré. Cette discrimination fondée sur l’âge s’ajoute aux „désavantages“ accumulés au long de la vie.
Au cours des trois prochaines décennies le nombre de personnes âgées devrait doubler et atteindre plus de 1,5 milliards.
L’accroissement le plus rapide se fera sur le continent africain. En Afrique subsaharienne, par exemple, la population de plus de 65 ans pourrait passer de 32 millions en 2019 à 101 millions en 2050.
Le nombre de personnes âgées de plus de 80 ans va tripler d’ici 2050 pour atteindre autour de 430 millions. En 2050, 80 pour cent de ces personnes vivront dans des pays à bas revenu et dépourvus d’un système de retraite généralisée.
C’est un défi énorme qui attend la société au niveau mondial.
Et c’est maintenant qu’il faut agir, pas en 2050 si l’on veut s’assurer que le „troisième âge“ devienne un facteur intégral, complémentaire et valorisant de la société … et non pas un „fardeau à charge“!
ët ass ëmmer esou, an dat ass Schued, dat, wann een nach méi jonk ass, da gesäit een dat nët esou
déi béid Usichten sën awer do, a mër musse versichen damat ze liewen
ëch ka mën nach erënneren, dat meng Mamm oft zu mër gesoot huet wann ëch mëch, an hiiren Aaen, totpesch behol hun:
Kand, ward ëmol wanns de aal gës, da verstees de dat, an da wärs de méi wéi eemol u mëch denken a soën -jo, d'Mamm hat recht