Elle est la base fondamentale de toute société qui ambitionne d’évoluer d’une façon démocratique.
En faisant un état des lieux au niveau sociétal au sein de l’Union européenne, l’on constate que le déséquilibre social a grandi, alors que les politiques en haut lieu n’en finissent pas de promettre d’y remédier.
La justice sociale laisse à désirer, l’enchevêtrement entre économie et politique sociale y est pour beaucoup. L’inflation est en partie due aux profits excessifs des entreprises par exemple, ce que reconnaissent quelques économistes comme B. Coeure. Certaines entreprises ont su profiter de l’inflation pour augmenter leur profit.
Une justice fiscale est réclamée davantage par les sociologues et des économistes neutres. Car sans elle il n’y a pas de justice sociale. Le fait est qu’une large partie du revenu des ultrariches échappe à la déclaration fiscale. En effet, les profits engrangés à travers leurs sociétés ne sont pas versés sur leur compte en banque. Ils restent dans les fonds de l’entreprise, appelés holdings, qui ont des ramifications dans les paradis fiscaux in-shore ou off-shore. Ce sont des milliards d’euros de recettes qui échappent ainsi à l’Etat, c’est-à-dire à la communauté.
Mais en ces temps plus que troubles, il ne suffit pas de „rapatrier” des milliards, encore faudrait-il les investir dans le social, le culturel, l’éducation et la santé. Il est à craindre qu’ils ne soient investis là où ils rapportent.
Il faut se rendre à l’évidence, la cohésion sociale n’est pas programmée pour demain!
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