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« Panser les plaies » et repartir à l’attaque. Sous cette devise, la deuxième rencontre de la Ligue des Nations du groupe 3 pour la sélection de la FLF contre la Biélorussie se déroule. Contre cet « éternel » adversaire, les premiers points doivent être engrangés.

Les joueurs de l’équipe nationale de football du Luxembourg n’ont pas beaucoup de temps pour reposer leurs jambes et leurs têtes fatiguées. Jeudi soir, les Nord-Irlandais ont montré au Luxembourg, lors de la défaite 0-2, ce que signifient un rythme élevé et une rapidité de pensée. La soirée à Belfast a été décevante et la phase de récupération avant le prochain match très courte. « Nous devons maintenant panser les plaies et le plus vite possible concentrer notre attention sur la Biélorussie », a déclaré Luc Holtz vendredi avant de rentrer au Luxembourg.

Contre l’équipe d’Europe de l’Est, deux joueurs clés seront de retour à la disposition du sélectionneur national. Le chef de la défense Maxime Chanot et l’offensif Danel Sinani reviennent après leurs suspensions. « Sinani nous offre nettement plus de possibilités. Le passé récent a montré son importance pour nous. Chanot est le chef de la défense et apportera son expérience. Mais si chaque joueur ne hausse pas son niveau de jeu, nous aurons à nouveau des difficultés », affirme le sélectionneur national.

Holtz pourra compter sur l’ensemble de son effectif pour le match contre la Biélorussie. Il n’y a pas eu de nouvelles blessures lors du match contre l’Irlande du Nord. En revanche, Yvandro Borges (Borussia Mönchengladbach/ALL), Marvin Martins (Austria Vienne/AUT) et Vincent Thill (FK Sabah/AZE), qui sont encore en phase de récupération après leurs blessures, ne seront toujours pas disponibles.

Après la défaite lors du premier match, les fans de la sélection de la FLF attendent une réaction. Environ 7 000 spectateurs sont attendus dimanche midi au Stade de Luxembourg. Holtz souhaite également voir un autre visage de son équipe : « Nous devons simplement être plus précis dans nos actions et plus rapides dans nos prises de décision. La Biélorussie a certes un style différent de celui de l’Irlande du Nord, mais eux aussi sont athlétiques et physiquement forts. Nous devons être prêts pour cela. »

Selon Holtz, il y aura quelques changements au sein des « Lions Rouges », tant sur le plan tactique que personnel : « Tout ce que je vais modifier vise à nous permettre de prendre les trois points. Et si les choses ne se passent pas comme prévu, nous devrons compenser cela avec passion. »

La Biélorussie est un adversaire « éternel » pour les Luxembourgeois. Depuis que l’ancienne république soviétique est devenue indépendante, la sélection de la FLF l’a déjà affrontée à douze reprises. La dernière rencontre entre les deux équipes remonte à 2018 lors de la toute première édition de la Ligue des Nations. L’adversaire ne possède plus de star comme Aliaksandr Hleb. L’équipe est relativement âgée, avec sept joueurs de plus de 30 ans. Le collectif est clairement au centre des préoccupations.

Carlos Alos, un Espagnol, a pris les rênes de l’équipe il y a environ un an. Ce globe-trotter a déjà été actif dans huit pays et il est désormais chargé de mener la Biélorussie vers un avenir meilleur. En onze matches depuis le début de son mandat, deux victoires ont été obtenues contre Andorre et le Kosovo. Des nuls remarquables ont été obtenus contre la Suisse et la Roumanie, deux participants à l’Euro. En juin, il y a cependant eu deux défaites nettes, 0-4 contre Israël et la Russie. « En possession du ballon, ils ne sont peut-être pas très bons, mais cette équipe montre beaucoup de volonté et d’intensité. C’est pour cela que la Biélorussie a également pris un point contre la Bulgarie (0-0) », explique Holtz.

Si le Luxembourg veut disputer la victoire du groupe, il faut déjà obtenir une victoire et trois points contre la Biélorussie. « Nous avons le potentiel pour prendre quelques points, mais il sera difficile de ravir la première place à l’Irlande du Nord », a constaté Holtz, qui espère une pelouse correcte. Après un traitement spécial, le gazon du Stade de Luxembourg, qui avait été infecté par un champignon, est en voie de guérison. Le terrain ne pourra en aucun cas servir d’excuse.