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L’histoire du temps présentPénurie de personnel à l’administration civile au Luxembourg

L’histoire du temps présent / Pénurie de personnel à l’administration civile au Luxembourg
L’hôtel de ville d’Esch sous l'occupation nazie Photo: Musée national de la Résistance

Il y a exactement 80 ans, l’administration civile au Luxembourg devait faire face à une grave pénurie de personnel. Nombre de policiers et de fonctionnaires allemands qui l’avaient auparavant servie avaient été envoyés au front. Le régime nazi n’avait plus d’autre choix que de s’en remettre à ses fidèles luxembourgeois.

A l’hiver 1942, le Reich allemand était en train de buter contre ses propres limites. Sa 6e armée était désormais encerclée par les Soviétiques à Stalingrad et ses troupes en Afrique du Nord étaient prises en tenaille par les Alliés. Peinant sur tous les fronts qu’il avait ouverts, il commençait à manquer sérieusement d’hommes. Le fait qu’il s’était résolu à mobiliser des soldats dans l’ensemble aussi peu fiables que les Luxembourgeois le montrait amplement.

Mais il commençait aussi à puiser dans ses propres réserves. Tous les hommes allemands en capacité de se battre, y compris les ouvriers, pourtant indispensables à la production de guerre, étaient désormais susceptibles d’être mobilisés. Cette situation impacta fortement l’administration civile allemande au Luxembourg, qui souffrait d’une pénurie de personnel depuis plusieurs mois déjà.

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Robert Hottua
12. Dezember 2022 - 0.35

Guten Tag Herr Artuso, Ihr deutscher Kollege, Herr Matthias KLEIN, weist in seinem Buch über die NS-Euthanasieverbrechen im Raum Trier auf die repressive, denunziatorische Rolle der ReichsbürgerInnen als "ErbgesundheitspolizistInnen" bei der Bevölkerungskontrolle hin. Die hieraus entstandenen "Volkstumskarteien" wurden für die Durchführung der "erbbiologischen Bestandsaufnahme" zur Realisierung einer planvollen Sterilisationspraxis an "rassenhygienisch minderwertigen, lebensunwerten Ballastexistenzen" gebraucht und benutzt. Ab 1940 wurde aus dieser rassenhygienischen Sterilisationspraxis eine reichsweite Tötungspraxis. Zuerst zentral in Hadamar und fünf weiteren Tötungsanstalten, ab 1941 dann dezentral in den Institutionen des Gesundheitswesens durch letale Spritzen, Pillen und/oder Nahrungsentzug. Dieser kriminelle volksmedizinische Weg wurde laut dem deutschen Psychiatrie-Professor Heinz HÄFNER im gesamten "Altreich" und ohne Ausnahmen in allen besetzten Gebieten beschritten. MfG Robert Hottua, Gründer der LGSP